L’importance d’un syndic de copropriété dans le succès d’un investissement locatif

Un syndic de copropriété concourt à la bonne gestion des biens immobiliers ayant plusieurs propriétaires. C’est pourquoi la plupart des copropriétaires en choisissent pour l’administration de leur immeuble. Il est donc important de savoir ce qu’il représente, si l’on a l’intention d’investir dans l’immobilier. Voici un tour du sujet à travers cette brève présentation.

La réponse à une exigence légale

Le recours à une telle structure est une exigence de la loi. Dès que plusieurs personnes s’entendent pour investir dans l'immobilier, elles sont dans l’obligation légale de confier la gestion des parties communes de l’immeuble à un syndic. Celui-ci est donc commis par les copropriétaires, et agit en leur nom pour la sauvegarde de leurs intérêts. Comment le désigne-t-on ?

Sa nomination provient d’une décision consensuelle

Il faut dire que l’assemblée générale des propriétaires, encore appelée syndicat des copropriétaires, est l’organe qui délibère pour son choix. On doit préciser qu’il peut être une personne étrangère à la copropriété et qui en fait une profession. Bien que cette dernière option soit la plus exploitée, les copropriétaires peuvent également désigner en leur sein une personne qui exécute le travail à titre désintéressé. De quoi s’occupe un syndic, une fois qu’il est choisi ?

Ses attributions dans la gestion d’une copropriété

Selon les dispositions de l’article 18 de la loi du 10 juillet 1965, il a trois fonctions principales. Il veille à l’entretien des espaces communs de l’immeuble, met en exécution les décisions de l’ensemble des copropriétaires, puis établit une proposition de budget de fonctionnement soumis à l’appréciation des propriétaires réunis en assemblée générale.

Nommé pour trois ans au maximum, il peut être révoqué au cas où les copropriétaires décident de la gestion de l’immeuble par un des leurs. On démet aussi le syndic en ne reconduisant pas tout simplement le contrat qui le lie au syndicat des propriétaires. Mais il faut l’en informer par une lettre recommandée avec accusé de réception au moins trois mois avant l’assemblée générale des copropriétaires.

Les avantages de recourir à un professionnel compétent

C’est la solution de confort quand on investit dans l’immobilier en copropriété. On bénéficie de l’expertise d’un professionnel qui maîtrise parfaitement les enjeux liés à la gestion d’une copropriété. Il travaille à la protection des intérêts parfois discordants de tous les copropriétaires. Ceux-ci sont ainsi assurés de la bonne gestion de leurs actifs immobiliers. Les copropriétaires, en se libérant des contraintes d’une gestion au quotidien de l’immeuble, peuvent vaquer à leurs occupations en toute sérénité.

Le syndic représente un élément central dans l’administration d’une copropriété. Il est donc indispensable de bien choisir celui qui doit veiller au bien commun, dans le cadre d’un investissement collégial dans l’immobilier.

Factures de chauffage : ça flambe !

Les hivers particulièrement froids et les hausses d'électricité, de gaz et de fioul répétées conduisent, chaque année, des centaines de foyers à revoir leur mode de chauffage. La plupart ne peuvent plus se permettre de dépenser autant d'argent pour leur confort. Les charges, trop lourdes, obligent à des privations quotidiennes.

Le climat : principale cause de la hausse des factures d'énergie

Les bouleversements climatiques influent de plus en plus sur nos factures de chauffage. Le froid sévit dès le mois d'octobre avec des températures pouvant descendre sous les -10°C. Malgré les efforts d'isolation et l'utilisation de systèmes à énergie renouvelable régulés en tenant compte de l'évolution des techniques de chauffage, le montant des factures énergétiques ne cesse de grimper. Le changement climatique amène diverses conséquences. Pour s'en convaincre, il suffit de lire cet article basé sur les résultats du très sérieux GIEC, Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat publié à l'adresse : ou encore ce manifeste expliquant les raisons de froids si intenses dans nos régions depuis 2009. Si le jet stream, l'air froid et les glaces arctiques, l'oscillation Nord-Atlantique et les surfaces enneigées sont les principaux facteurs retenus pour expliquer les changements météo majeurs des hivers du XXIème siècle, les prévisions restent alarmistes.

Le chauffage est donc un élément de confort indispensable : un moyen efficace de lutter contre les caprices du temps et de rester en bonne santé. En choisissant des solutions écologiques telles que l'énergie renouvelable ou le bois de chauffage, les foyers français préservent en plus leur budget comme le montrent les statistiques affichées sur www.gouv.fr

Les solutions pour réaliser des économies sur le long terme

Le Grenelle de l'Environnement et les organisations mondiales luttent pour préserver la planète et apporter des réponses aux dépenses énergétiques récurrentes. Au cœur des débats, l'énergie fossile représente une large part des dépenses des ménages. Le site belge Be.STAT montre parfaitement l'évolution des prix au cours des 8 dernières années : le tableau des tarifs officiels moyens des produits pétroliers dénonce notamment l'évolution progressive mais significative du gasoil de chauffage depuis 2006.

L'énergie renouvelable et le bois de chauffage sont donc deux alternatives de choix à l'emploi de combustibles issus du pétrole. Le bois de chauffage vendu au stère ou sous forme de déchets compressés (bûches et plaquettes densifiées) connaît un succès de plus en plus remarqué. Considéré comme énergie propre issue du développement durable, le bois de chauffage est un combustible aujourd'hui utilisé dans les campagnes comme en plein centre-ville. Son prix varie notamment en fonction de la région et des coûts de transport, sachant que les départements bien pourvus en bois et forêts comme le Limousin et la Franche-Comté sont ceux qui bénéficient des tarifs les plus bas. Les appareils utilisant le bois de chauffage évoluent pour offrir un rendement intéressant et diviser par deux les factures de combustibles. Pour se faire une idée de l'ampleur du phénomène, le site energies-renouvelables.org propose de télécharger la synthèse du marché.

La restauration multifacette !

Contre toute attente, la restauration est l'un des secteurs qui a connu la plus grande croissance depuis l'an 2000. Plus précisément, le marché de la consommation alimentaire hors domicile a atteint un seuil de plus de 86 milliards d'euros en France, en 2012. Cela inclut la restauration sur place et à emporter (selon une étude de Gira conseil publiée dans le journal L'Hotellerie-Restauration). L'augmentation par rapport à 2011 représente 0,34%. Il est donc évident que ce secteur est en pleine expansion et que la demande est de plus en plus forte, en dépit de la conjoncture et morosité ambiante.

Manger au restaurant représente une activité privilégiée des familles et groupes de personnes. Pour des événements particuliers (anniversaires, baptêmes, fêtes de Fin d'Année), mais également pour les repas quotidiens au travail, les repas d'affaires, aller au restaurant est vraiment ancré dans les habitudes des gens. Les établissements à restauration rapide, moyen de gamme et haut de gamme se côtoient dans toutes les grandes villes. Dans les plus petits villages, les restaurants, brasseries et bars en sont le cœur et véritable poumon. Etablissement à vocation gastronomique, familiale et sociale, le restaurant a vraiment de beaux jours devant lui.

Les services du traiteur professionnel comprennent non seulement l'élaboration de plats soignés (de l'entrée au dessert), mais également leur livraison, disposition et service. Les traiteurs sont très appréciés lors d'événements particuliers, privés et professionnels. Les habitudes évoluant, la place est aussi à l'originalité et la gourmandise. Les goûts et les couleurs se côtoient pour que le plaisir gustatif et des yeux soient équilibrés. Le choix d'un traiteur doit être soigneusement étudié en fonction du nombre de personnes, de la disposition du lieu de l'événement et du souhait en matière de menu. Chaque convive peut apprécier un service plus détendu qu'à table, et moins formel.

Face à la restauration traditionnelle, une nouvelle tendance s'est inscrite durablement dans les habitudes de consommation : les plats à emporter. De plus en plus plébiscités par les consommateurs, on a même pu constater que ce marché a dépassé pour la première fois en 2012 celui de la restauration dite traditionnelle. Selon une étude de Gira Conseil, reproduite dans Le Figaro en mars 2013, le marché français du snacking a atteint environ 34 milliards d'euros contre 30 milliards pour les restaurants, brasseries, établissements hauts de gamme. Pour les consommateurs, la possibilité de prendre des plats à emporter représente non seulement une économie mais un gain de temps important.

Pour compléter la panoplie déjà très large des lieux de consommation publics ou à l'emporter, d'aucun n'oubliera de citer les bars. Ces établissements sont tout aussi importants que les restaurants, permettant aux groupes d'amis et collaborateurs de passer un agréable moment après le travail ou les études. Les 5 à 7, les afterworks ou simplement les passages obligés pour aller visionner un match avec ses amis, la vocation des bars est multitâche. Ce sont également des lieux offrant une architecture bien appréciée pour des spectacles musicaux, des concerts, ou des one-man shows. Chacun y trouve un bon argument pour y passer quelques heures, peu ou bien arrosées !