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Le blog de Sarah Parkar - Page 15

  • L’art de bien choisir un syndic de copropriété

    Faire gérer une copropriété par un syndic, c’est bien ; mais mieux vaut confier cette gestion à un professionnel aux compétences avérées. Le problème réside dans le fait qu’aucun agent ne s’avouera incompétent à s’occuper correctement d’une copropriété. Il est donc insuffisant de s’en remettre à la seule bonne volonté du mandataire. Pour identifier un bon représentant, il y a des prescriptions simples à observer. Les voici.

     

    Des constats peu flatteurs pour la profession

    Il faut honnêtement le reconnaître : on se méfie beaucoup des gérants de copropriété. Les comportements de certains d’entre eux justifient cette méfiance à l’égard de la profession, car ils ont des pratiques de gestion peu orthodoxes. Constitution dolosive des forfaits, non-respect de la prescription de comptes bancaires séparés… les indices de mauvaise gestion des syndics sont bien nombreux malheureusement, comme le signalent certaines associations de consommateurs. À la fin, au lieu de générer de la plus-value pour les copropriétaires, les mandataires deviennent budgétivores et desservent les intérêts de leurs clients. Pour réussir son investissement, il est donc impératif d’opérer un bon choix.

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    Portrait-robot du syndic idéal

    La première démarche à privilégier pour trouver recruter un bon gérant sera d’exploiter ses relations. Il faut donc prendre conseil auprès des amis, et leur poser des questions précises sur les habitudes des agents ayant en charge leur copropriété. C’est en étudiant leurs réponses qu’on peut conclure si un représentant vaut la peine d’être recruté.

    Si grâce aux amis, on arrive à cibler quelques professionnels, on doit poursuivre son investigation vérifiant plusieurs points.

    À la demande, le mandataire doit pouvoir être à l’aise pour faire connaître ses qualifications professionnelles. Il devra montrer promptement sa carte professionnelle et indiquer sa formation initiale et des références.

    Les tâches usuelles qui doivent figurer sur le forfait de base sont précisées par l’arrêté Novelli. Le futur agent les a-t-il normalement intégrées au contrat ? Si ce n’est pas le cas, il faut attirer son attention sur les points d’ombre. Un professionnel compétent doit pouvoir accepter facilement la discussion et corriger ce qui doit l’être.

    Le bon représentant doit être rigoureux dans le respect de la loi, notamment en ce qui concerne les mesures de gestion financière transparente. Il lui faut prouver qu’il gère les affaires de ses clients avec des comptes bancaires séparés.

    Un syndic compétent s’exprime aisément sur sa manière de travailler. On doit noter en lui la capacité de maîtriser tout le travail qu’exige la gestion de la copropriété. S’il est pluridisciplinaire, comme le veut son métier, on le saura à travers ses propos. En effet, il doit être à la fois un comptable, un administratif et un maître d’ouvrage.

    Quand on est copropriétaire, il faut disposer d’un syndic compétent pour mener à bien son investissement locatif. On y parvient en prospectant autour de soi et en soumettant les professionnels ciblés à une série de questions sur leurs qualifications professionnelles et leurs méthodes de travail.

  • Réduire l'émission de gaz à effet de serre : les solutions

    Greenhouse gas emissions are "gases that absorb some sunlight redistributing the form of radiation in the atmosphere, a phenomenon called greenhouse effect." These gases have a direct impact on the climate. The consequences are known. They have led to severe restrictions within the European Union and other continents especially after the Kyoto Protocol.

     

    Gases responsible for the greenhouse effect and its impact on the environment

    The most known gases are carbon dioxide (CO2), ozone (O3), nitrous oxide (N2O), methane (CH4), hydrofluorocarbons, perfluorocarbons and the sulfur hexafluoride. These gases are more or less dangerous and toxic, but they all contribute to global warming causing peaks of pollution by fine particles or ozone.

    The most dangerous gases, recently discovered by American scientists, would PFTBA: perfluorotributylamine used in the electronics industry. This gas would have a powerful radiative effect it would create an accelerated warming in "parked" a hundred years in the lower atmosphere.

    The reference gas on global warming is carbon dioxide since it is responsible for about 70% of greenhouse gas emissions from anthropogenic sources. It is produced by the combustion of fossil fuels and biomass (traditional wooden logs).

     

    Followed by nitrous oxide (from certain agricultural activities, combustion of wood, various chemicals), methane (due to intensive farming, production of oil and coal mining) and fluorinated gases (largely affect on global warming as seen above).

     

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    The means to fight against greenhouse gas emissions

     

    Various measures to limit GHG were taken jointly by the most influential countries in the world. Targets for 2015 or 2020 have been designated as priority by the various committees involved in the development of the Kyoto Protocol. These measures are innovative but they may not be sufficient to reverse the curve of global warming.

    Strangely, the development of new technologies also helps reduce greenhouse gas emissions. For example, if we consider the domestic heating newly marketed, we realize that fossil fuels and fuels grouped in biomass are gradually replaced by natural products made without chemical additives. Pellets, chips, logs densified wood from recycling and recovery. The process is environmentally responsible. The log of densified wood has more outstanding performance and a calorific value much higher than the traditional wood. The log densified wood is produced in a traditional way by pressure. The environmental impact is zero. The log of densified wood produces no smoke, no residue, no odor combustion.

     

    Conclusion: the log of densified wood is definitely the future of energy.

     

  • Les risques encourus par les athlètes : les moyens de prévention

    Les risques encourus par les athlètes sont d'abord cardio-vasculaires. Les cardiologues du sport estiment que le cardiofréquencemètre est utile quelle que soit la condition physique et l'activité pratiquée. Seuls un peu plus de 62% des athlètes connaissent leur fréquence cardiaque. Environ 33% ont déjà subi des épreuves d'effort et seulement 20% se sont déjà adonnés à des tests de terrain. Les faits prouvent pourtant la dangerosité d'un effort physique intense et non mesuré sur l'organisme, les muscles et le squelette.

     

    Comment mesure-t-on les efforts éprouvés par l'organisme en situation dynamique ?

    Différentes unités de mesure et coefficients existent pour déterminer les conséquences d'un effort physique prolongé. Chaque sport a ses références spécifiques. Le cœur d'athlète définit les principales variables associées à la pratique d'un sport d'endurance mais le concept doit bien entendu être adapté à l'individu, d'où l'importance de surveiller régulièrement l'évolution des capacités et d'enregistrer les modifications éventuelles au niveau des principaux organes.

    L'endurance est déterminée par différents critères dont le calcul du VO2max, c'est-à-dire le niveau maximum d'effort pouvant être fourni durant le sport. Par définition, "le VO2max est le débit maximum d'oxygène consommé lors d'un effort, c'est-à-dire le volume maximal d'oxygène prélevé au niveau des poumons et utilisé par les muscles par unité de temps". Il est exprimé en litres par minute et est appliqué pour chaque individu en kilo. Le VO2max représente en moyenne 48 ml/mn/kg pour les hommes et 38 ml/mn/kg pour les femmes bien qu'il puisse varier fortement en fonction de l'âge, de l'anatomie, de la physiologie et de la condition physique de chacun. Un VO2max faible peut s'améliorer en pratiquant régulièrement une activité et en s'entraînant en choisissant des exercices de respiration adaptés.

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    Le VO2max : comment mesurer sa capacité à faire des efforts prolongés ?

    Différents dispositifs médicaux existent pour mesurer cette capacité. Ils tiennent compte des valeurs (pour la fréquence cardiaque ou le souffle) selon le sport pratiqué.

    L'appareil utilisé pour l’Epreuve d’Effort Cardio Pulmonaire est le Vo2 sub-max. Cet appareil compact utilisable en salle d'examen calcule le seuil respiratoire et détermine les zones d'entrainement individuelles. Il établit divers types de bilans : bilan du métabolisme, bilan de la forme physique et du risque CV. Il détermine précisément la composition corporelle. Il se base sur les résultats pour établir une liste de conseils appropriés (régimes, exercices spécifiques, compléments alimentaires, etc.).

    Le test de VMA (Vitesse Maximale Aérobie) établit : "la vitesse de course sur piste à partir de laquelle une personne consomme le maximum d'oxygène", c'est-à-dire la vitesse qui permet d'atteindre le VO2 maximum. Il est estimé qu'un sportif de haut niveau peut tenir jusqu'à 8 minutes à sa vitesse maximale aérobie. Ensuite, il utilise l'énergie de son métabolisme pour prolonger l'effort. Les médecins sélectionnent différents tests pour définir la VMA : tests de terrain avec paliers, tests avec appareillages sophistiqués, tests permettant le calcul de la PMA (puissance maximum utilisée pour accéder à la VMA), tests de détermination du seuil anaérobie, etc.