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  • Les risques encourus par les athlètes : les moyens de prévention

    Les risques encourus par les athlètes sont d'abord cardio-vasculaires. Les cardiologues du sport estiment que le cardiofréquencemètre est utile quelle que soit la condition physique et l'activité pratiquée. Seuls un peu plus de 62% des athlètes connaissent leur fréquence cardiaque. Environ 33% ont déjà subi des épreuves d'effort et seulement 20% se sont déjà adonnés à des tests de terrain. Les faits prouvent pourtant la dangerosité d'un effort physique intense et non mesuré sur l'organisme, les muscles et le squelette.

     

    Comment mesure-t-on les efforts éprouvés par l'organisme en situation dynamique ?

    Différentes unités de mesure et coefficients existent pour déterminer les conséquences d'un effort physique prolongé. Chaque sport a ses références spécifiques. Le cœur d'athlète définit les principales variables associées à la pratique d'un sport d'endurance mais le concept doit bien entendu être adapté à l'individu, d'où l'importance de surveiller régulièrement l'évolution des capacités et d'enregistrer les modifications éventuelles au niveau des principaux organes.

    L'endurance est déterminée par différents critères dont le calcul du VO2max, c'est-à-dire le niveau maximum d'effort pouvant être fourni durant le sport. Par définition, "le VO2max est le débit maximum d'oxygène consommé lors d'un effort, c'est-à-dire le volume maximal d'oxygène prélevé au niveau des poumons et utilisé par les muscles par unité de temps". Il est exprimé en litres par minute et est appliqué pour chaque individu en kilo. Le VO2max représente en moyenne 48 ml/mn/kg pour les hommes et 38 ml/mn/kg pour les femmes bien qu'il puisse varier fortement en fonction de l'âge, de l'anatomie, de la physiologie et de la condition physique de chacun. Un VO2max faible peut s'améliorer en pratiquant régulièrement une activité et en s'entraînant en choisissant des exercices de respiration adaptés.

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    Le VO2max : comment mesurer sa capacité à faire des efforts prolongés ?

    Différents dispositifs médicaux existent pour mesurer cette capacité. Ils tiennent compte des valeurs (pour la fréquence cardiaque ou le souffle) selon le sport pratiqué.

    L'appareil utilisé pour l’Epreuve d’Effort Cardio Pulmonaire est le Vo2 sub-max. Cet appareil compact utilisable en salle d'examen calcule le seuil respiratoire et détermine les zones d'entrainement individuelles. Il établit divers types de bilans : bilan du métabolisme, bilan de la forme physique et du risque CV. Il détermine précisément la composition corporelle. Il se base sur les résultats pour établir une liste de conseils appropriés (régimes, exercices spécifiques, compléments alimentaires, etc.).

    Le test de VMA (Vitesse Maximale Aérobie) établit : "la vitesse de course sur piste à partir de laquelle une personne consomme le maximum d'oxygène", c'est-à-dire la vitesse qui permet d'atteindre le VO2 maximum. Il est estimé qu'un sportif de haut niveau peut tenir jusqu'à 8 minutes à sa vitesse maximale aérobie. Ensuite, il utilise l'énergie de son métabolisme pour prolonger l'effort. Les médecins sélectionnent différents tests pour définir la VMA : tests de terrain avec paliers, tests avec appareillages sophistiqués, tests permettant le calcul de la PMA (puissance maximum utilisée pour accéder à la VMA), tests de détermination du seuil anaérobie, etc.

  • Comment réussir une vente or à Toulouse ?

    L'utilisation de biocombustibles permet de diminuer les effets nocifs des énergies fossiles dont l’émission de GES (Gaz à Effet de Serre). Propre, économique et renouvelable, la biomasse tient une place prépondérante dans l'évolution énergétique mondiale. Broyée ou déchiquetée, elle passe par différentes étapes avant d'être commercialisée. Elle est caractérisée par un taux d'humidité extrêmement bas, un pouvoir calorifique à haut rendement et une production organisée rationnellement grâce à une maîtrise des coûts.

     

    Biomasse, bioénergie et biocombustibles : quelques définitions

    La bioénergie est définie comme une "énergie renouvelable issue de l'exploitation de la biomasse, par opposition aux énergies fossiles". Cette énergie issue de la Terre est valorisée par les techniques de séchage et de conditionnement employées. Le pouvoir calorifique de plaquettes, copeaux et sciures (ensuite densifiés pour obtenir des bûches de bois compressé) est estimé à 26,7 PCS (pouvoir calorifique supérieur) MJ/unité maximum pour la base anhydre. Par comparaison, le biogaz est estimé à 29.8 PCS MJ/unité.

    La biomasse "désigne l’ensemble des matières organiques pouvant se transformer en énergie. On entend par matière organique aussi bien les matières d’origine végétale (résidus alimentaires, bois, feuilles) que celles d’origine animale. La biomasse solide permet la production de chaleur à petite ou grande échelle.

    Le biocombustible est donc un "combustible issu de la biomasse qui représente l'ensemble des organismes vivants." Il peut s'agir de plaquettes, granulés ou bûches de bois compressé. Dits à énergie verte, ils sont issus de produits non traités : de déchets de scierie, de coupes d'entretien de haies, etc. Le pouvoir calorifique de chaque catégorie est lié au taux d'humidité résiduel.

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    Les biocombustibles à utiliser au quotidien dans les appareils à bois

    Le pellet ou granulé est composé de sciures de différentes essences compactées avec de la vapeur d'eau. Son taux d'humidité est inférieur à 10%. Il est tamisé et dépoussiéré avant d'être mis en sac. Certaines marques utilisent un liant généralement d'origine végétale. Son principal inconvénient est son prix. Deux kilos de granulés équivalent en moyenne à un litre de fuel.

    La plaquette forestière a été broyée mécaniquement. Son taux d'humidité peut varier de 20% à plus de 50%. Selon Wikipédia, 2.5 tonnes de plaquettes correspondent à une tonne de pétrole. Elle ne fournit pas plus d'énergie qu'une bûche de bois traditionnelle.

    La bûche de bois compressé est issue du recyclage de sous-produits de l'industrie comme les palettes inutilisables débarrassées de leurs pointes et agrafes. Elle est conçue sans colle, ni additifs. La bûche de bois compressé a un taux d'humidité de 8% environ, d'où son pouvoir calorifique remarquable et son rendement intéressant : une palette de bûches de bois compressé équivaut à cinq stères de bois classique. Cette bûche écologique monte rapidement en température et produit de vraies flammes. Mais, son avantage majeur est sa propreté. Elle n'émet pas de CO2 à la combustion. Elle ralentit la production de goudron ou de cendre.

  • Revêtement de sol : un spécialiste haut de gamme à Toulouse

    Vous habitez Toulouse ou sa périphérie. Le climat est variable dans cette ville du Midi, avec alternance de la pluie et du soleil. Vous envisagez de protéger vos sols de l’humidité tout en apportant à vos pièces une touche de modernité, de fraîcheur et de design. Songez à poser une moquette sur vos sols. Ce type de revêtement de sol transformera les pièces en un cadre de vie agréable. Dans les magasins, la moquette à Toulouse se décline en divers types dont la moquette en velours, bouclée, imprimée, naturelle et synthétique.

    La moquette : douceur et confort

    La moquette sur Toulouse est facile à poser ou à enlever, à nettoyer, à entretenir. Elle apporte un confort et de la douceur lorsqu’on marche dessus. Résistante, elle atténue les bruits et dispose d’une excellente isolation thermique et phonique. L’une des particularités de la moquette à Toulouse est sa capacité à absorber la poussière. Enfin, la moquette réduit les risques d’accidents domestiques tels que les glissades et procure un sentiment de sécurité et de confort optimal. Elle est, d’ailleurs, pratique pour le déplacement des personnes à mobilité réduite ou encore des enfants qui apprennent à marcher.

    Décoration d’intérieur

    Selon les motifs, vous pouvez poser vous-même votre moquette selon vos goûts et votre inspiration : en diagonale, en frise, géométrique, unie ou en damier. Toutefois, nos experts sont en mesure de vous apporter leur savoir-faire pour faire ressortir de manière optimale vos attentes en fonction de la peinture des murs, du plafond… La moquette à Toulouse est commercialisée dans les magasins sous différents aspects, à densités importantes : velours, relief, bouclée, frisée, imprimée, laine, fibre naturelle, synthétique…Votre choix devra être guidé par le taux de fréquentation de la pièce et le taux d’humidité éventuelle.

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    Moquette pour chaque pièce

    Plusieurs types de moquette à Toulouse vous sont proposés, adaptés à chaque pièce et à chaque zone de votre habitation. Une moquette en relief ou géométrique serait mieux adaptée au living, ou séjour grâce à son style design et feutré. Le sol de la chambre à coucher devrait être revêtu de moquette imprimée, bouclée ou en laine pour plus de confort et chaleur. Le ton serait accordé au papier peint des murs. Le modèle synthétique est adapté à la salle de bain, toilettes et à la cuisine, tandis que le velours conférera un look stylé et moderne aux escaliers intérieurs et aux couloirs.

    Nettoyage et entretien

    La moquette se nettoie facilement à l’aspirateur. Pour la laver, divers produits détergents sont utilisés en fonction de la nature des fibres. La manière la plus aisée de la laver est de la retirer, la laver à grande eau avec du savon détergent, la faire sécher et la reposer ensuite. Pour enlever les tâches, plusieurs manières sont suggérées par nos conseillers, en fonction de la nature et de la profondeur des tâches. Il est aussi possible de la nettoyer à l’aide d’une machine à injection de produits nettoyants tels que du shampooing.